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Vous est-il déjà arrivé de passer un entretien où le recruteur vous pose des questions pour le moins surprenantes ? Et oui, parfois les entretiens d’embauche réservent quelques surprises aux candidats, avec des questions qui ne sont pas toujours anticipées. GROUPAGORA vous décrypte l’objectif des recruteurs derrière ces questions qui peuvent vous faire ‘bugger’ et vous explique comment y répondre.
Aujourd’hui, les Softs Skills sont la combinaison gagnante pour vous démarquer en entretien. Pour le recruteur, utiliser des questions inhabituelles est un moyen de déceler ces qualités comportementales tant attendues en entreprise. Ce type de questions appellent des réponses non-formatées par les candidats. Le recruteur cherche à tester : Votre créativité Votre capacité de raisonnement Votre gestion du stress Votre adaptabilité Voici quelques exemples de questions qui ont été posées : Vous êtes dans un couloir de pierre de 2.5 mètres de section. Le prince des ténèbres apparaît devant vous. Que faîtes-vous ? Combien de balles de golf peuvent tenir dans un bus scolaire ? Êtes-vous la personne la plus intelligente que vous connaissez ? Qu’avez-vous choisi de ne pas inclure dans votre CV ? Que dirait de vous, une personne qui ne vous aime pas ? Comment y répondre ? Pour commencer, la réponse en elle-même n’est pas importante, ce qui est analysé, c’est bien votre façon de répondre ainsi que l’attitude que vous dégagerez face au recruteur. 1 . Dans un premier temps, structurez votre réponse. Le recruteur a besoin de comprendre votre cheminement de pensée, votre raisonnement, votre logique. Soyez clair et prenez le temps de formuler vos phrases dans votre tête au préalable. 2. N’hésitez pas à poser des questions pour vous permettre de trouver des éléments de réponse à la question initiale. Par exemple, dans la question « décrivez-moi la maison de mes rêves » posée par le recruteur, comment vous y prendrez-vous sans connaître ses goûts… Vous y montrerez votre intérêt, votre implication et votre capacité d’analyse. 3. Soyez spontané. C’est important de structurer votre réponse calmement et de manière réfléchie. Mais à trop réfléchir, la question qui vous sera posée perdra en intérêt, répondez avec votre ressenti, il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse. 4. Soyez descriptif dans vos propos. Le recruteur a besoin de visualiser ce que vous lui racontez. Donnez des chiffres, détaillez vos propos en donnant des exemples concrets. N’hésitez pas à prendre une feuille et stylo pour illustrer vos expériences. C’est aussi un moyen de perdre le recruteur…pris à son propre jeu ! 5. Utilisez l’humour, notamment lorsque vous ne connaissez pas la réponse. Par exemple « Combien de balles de golf peuvent tenir dans un bus scolaire ?». Vous pourriez dire « Si je vous dis, autant que le bus peut en contenir, ça fonctionne ? », avec un ton amusé. Encore une fois tout est dans l’attitude. Ici, en plus de votre capacité à gérer votre stress, le recruteur teste votre maturité, votre auto-dérision et votre autonomie. 6. Enfin, vous avez le droit de refuser de répondre aux questions indiscrètes. Gardez confiance. Vous pourriez dire « la question est intéressante mais je ne comprends pas en quoi ma réponse vous permettra de juger mes compétences », et ce toujours avec le sourire. Rappelez-vous seulement que le recruteur n’est pas là pour vous piéger. Les questions peuvent sembler déroutantes aux premiers abords mais gardez en tête qu’il ne connaît pas forcément la réponse à la question qu’il vous pose. Le plus important pour le recruteur, c’est bien de tester votre attitude face à la difficulté !
Aujourd’hui, les Softs Skills sont la combinaison gagnante pour vous démarquer en entretien. Pour le recruteur, utiliser des questions inhabituelles est un moyen de déceler ces qualités comportementales tant attendues en entreprise. Ce type de questions appellent des réponses non-formatées par les candidats. Le recruteur cherche à tester :
Voici quelques exemples de questions qui ont été posées :
Comment y répondre ?
Pour commencer, la réponse en elle-même n’est pas importante, ce qui est analysé, c’est bien votre façon de répondre ainsi que l’attitude que vous dégagerez face au recruteur.
1 . Dans un premier temps, structurez votre réponse. Le recruteur a besoin de comprendre votre cheminement de pensée, votre raisonnement, votre logique. Soyez clair et prenez le temps de formuler vos phrases dans votre tête au préalable.
2. N’hésitez pas à poser des questions pour vous permettre de trouver des éléments de réponse à la question initiale. Par exemple, dans la question « décrivez-moi la maison de mes rêves » posée par le recruteur, comment vous y prendrez-vous sans connaître ses goûts… Vous y montrerez votre intérêt, votre implication et votre capacité d’analyse.
3. Soyez spontané. C’est important de structurer votre réponse calmement et de manière réfléchie. Mais à trop réfléchir, la question qui vous sera posée perdra en intérêt, répondez avec votre ressenti, il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse.
4. Soyez descriptif dans vos propos. Le recruteur a besoin de visualiser ce que vous lui racontez. Donnez des chiffres, détaillez vos propos en donnant des exemples concrets. N’hésitez pas à prendre une feuille et stylo pour illustrer vos expériences. C’est aussi un moyen de perdre le recruteur…pris à son propre jeu !
5. Utilisez l’humour, notamment lorsque vous ne connaissez pas la réponse. Par exemple « Combien de balles de golf peuvent tenir dans un bus scolaire ?». Vous pourriez dire « Si je vous dis, autant que le bus peut en contenir, ça fonctionne ? », avec un ton amusé. Encore une fois tout est dans l’attitude. Ici, en plus de votre capacité à gérer votre stress, le recruteur teste votre maturité, votre auto-dérision et votre autonomie.
6. Enfin, vous avez le droit de refuser de répondre aux questions indiscrètes. Gardez confiance. Vous pourriez dire « la question est intéressante mais je ne comprends pas en quoi ma réponse vous permettra de juger mes compétences », et ce toujours avec le sourire.
Rappelez-vous seulement que le recruteur n’est pas là pour vous piéger. Les questions peuvent sembler déroutantes aux premiers abords mais gardez en tête qu’il ne connaît pas forcément la réponse à la question qu’il vous pose. Le plus important pour le recruteur, c’est bien de tester votre attitude face à la difficulté !
Sources : Communication GROUPAGORA
Publié le 05 Juillet 2021
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